vendredi 19 décembre 2008




Bien chers tous,
Noël approche à grands pas et avec lui les joyeuses retrouvailles familliales et amicales...
Sans doute êtes vous tous dans la course traditionnelle -si l'on peut dire- des préparatifs et peut être pensez vous que sous l'équateur la vie est plus tranquille ?! Eh bien détrompez vous!

La course à la crêche !


Il n'est pas question de course au « dernier-cadeau-que-l'on-n'arrive-décidement-pas-à-trouver » mais bien d'une course à la crêche : c'est à qui fera la plus belle « maison de Noël » !...
Ici les gens se rassemblent par groupes d'habitants pour construire au coeur des quartiers ou au bord des routes, des cabanes en bambou. Nous parlons de cabanes, mais certaines ressemblent sérieusement à des vraies maisons de par leur taille imposante...
Il y en a pour tous les goûts : des petites, des grandes, certaines en forme d'étoile (si!si!)... on en a même vu une qui était perchée : pour y monter il fallait emprunter une échelle de 12 mètres environs et grimper à flanc de coteaux d'une petite colline. Certaines crêches sont peintes de couleurs vives; d'autres sont munies de lumières multicolores et clignotantes pour être bien vues dans la nuit; d'autres encore, moins « tape à l'oeil », sont faites de bambous travaillés de façon à représenter une décoration (un sapin, une étoile...), un peu comme une découpe d'ébenisterie...
Bref, une grande variété de modèles pour lesquels on retrouve 3 points communs :
1° : il s'agit de crêches, 2° : suffisamment grandes pour qu'un homme puisse s'y tenir debout, et 3° : tout le monde s'y met : généralement les pères de famille en tête, à la grande joie des enfants et des mamans qui les accompagnent.
Nos petites allées et venues en moto (nous fêtons d'ailleurs nos 3000 kms...) nous permettent de voir l'avancée des travaux et la fierté de tous ces travailleurs... Ils sont heureux, et c'est tout simplement beau !




Et l'école dans tout cela ?
Pour Noël, les enfants auront des vacances, mais très peu d'élèves rentrerons chez eux, car les trajets sont compliqués (généralement les élèves ne repartent chez eux que pour les congés d'été -3 à 4 semaines fin juin/début juillet-, et certains enfants font même toute leur scolarité avant de retrouver leur famille !).
Le jour de Noël sera donc fêté à l'école et les élèves se préparent à jouer une crêche vivante.
Pour cela il faut de beaux décors et Gwenolé est allé prêter main forte à l'équipe de construction ; les élèves et les frères ont été ravis d'apprendre les noeuds de surliure et Cie et, malgré un outillage assez rudimentaire (le couteau de Gwenolé coupe mieux les bambous que les scies mises à disposition), le travail avance : déjà 3 petites maisons sont presque sur pieds...
De son côté Charlotte, après quelques prélevements de terre sur un ancien site de fabrication de briques, s'est mise au modelage de petits santons avec Arnolda.






Qui est Arnolda ?
Arnolda est notre voisine de chambre; c'est une jeune fille papoue qui a été atteinte du virus de la Polio alors qu'elle n'avait qu'un an.
Après de multiples opérations pour essayer de sauver ses jambes, les médecins s'avouèrent incapables de poursuivre et lui firent des ténotomies (sections des tendons) au niveau des membres inférieurs. Arnolda fut alors transportée à 10 ans sur l'île de Java pour y être accueillie dans un centre de personnes handicapées. Elle suivit des cours et fit beaucoup de kiné. Elle commença à travailler à la radio tout en continuant ses séances de kinésithérapie. Elle apprit alors à se servir d'orthèses pour lui permettre de se déplacer debout et se mobiliser à la verticale pendant les séances de kiné (ses orthèses ne lui permettant pas de s'asseoir)...
.... « elle marchait donc ! » se dirent ses parents qui, en apprenant la nouvelle, voulurent la faire rapatrier sur Papua.
Ils demandèrent alors au Pater Tromp, via l'évêque, s'il serait possible qu'Arnolda vienne travailler au séminaire. Le Pater Tromp entendant qu' « Arnolda pouvait marcher », donna son accord.
Arnolda, qui avait passé 17 ans à Java, quitta donc la ville, son travail et tous ses amis pour revenir en Papua. Bien sûr, elle était heureuse de retrouver toute sa famille mais celle-ci, vivant dans les hautes herbes, ne peut pas la recevoir avec son fauteuil roulant... Et qu'elle ne fut pas la surprise du Pater Tromp lorsqu'il vit arriver Arnolda dans son fauteuil ! « on lui avait dit qu'elle marchait ! »... Le séminaire n'est pas du tout conçu pour les fauteuils roulants : il y a des marches de partout pour empêcher l'entrée des pluies diluviennes dans les tous les bâtiments... et seulement quelques mêtres sont carrossables en fauteuil roulant...
Notre voisine de chambre a donc commencé une vie bien différente en août dernier : elle est devenue beaucoup plus dépendante car ne peut se déplacer seule à l'extérieur sans l'aide de quelqu'un... En dehors du temps à l'école, elle reste des heures toute seule dans la maison des « guru » : les élèves lui apportent ses repas, sa maman et sa famille élargie viennent de temps en temps la voir et nous tâchons de lui faire des petits plaisir ; nous avons fait mettre une planche devant la porte de la « rumah guru » pour qu'elle puisse descendre toute seule sur l'allée carrossable, ce qui lui permet un peu plus de liberté, mais guère !!!
Si toutefois, elle pouvait s'épanouir dans son travail ! Mais là encore, elle ne peut accomplir la tâche à laquelle le Pater Tromp avait pensé car il faut monter les escaliers etc.... du coup elle donne des coups de main aux secrétaires qu'elle ralentit parfois plus qu'elle n'aide et cela donne lieu à des tensions qui la rende malheureuse...
Nous espérons trouver une solution à cette situation délicate et nous avons proposé qu'Arnolda nous aide dans les cours de soutien : un jeune élève nommé Sandy, suit tous les cours sans rien comprendre parce qu'il parle très mal Indonésien... il accumule les zéros dans toutes les matières, perd son temps à l'école...et rien n'est encore prévu pour cette sorte de problème... Nous avons donc pensé qu'Arnolda serait tout à fait à l'aise pour accomplir ce genre de tâche qui demande beaucoup d'attention et de patience ; peut-être que cela pourrait l'aider à s'épanouir (au moins à l'école) en attendant que les travaux d'assainissement de terrain aient lieu (si toutefois ils ont lieu un jour !).
Notre proposition doit passer en conseil d'école d'ici fin 2008, nous espérons une bonne nouvelle en retour : ce serait un beau cadeau de Noël !



Et la « pesta Natal » pour les « Orang Perancis »...
Nous allons nous évader quelques jours pour une virée en jungle avec l'évêque : tous les ans, monseigneur Datus Lega garde cette date spécialement pour la fêter avec les papous des contrées lointaines.
Nous passerons donc Noël avec les papous de Bintuni. Nous nous y rendrons dans un petit avion pour 9 personnes et sans doute aurons nous à faire un peu de marche à pieds car ce sera l'occasion de rendre visite aux petites « bourgades » alentours...
Nous rentrerons du côté de Sorong le 27 pour changer d'équipe et repartirons le 28 du côté de Fef, toujours dans notre petit avion.
Nous vous enverrons notre prochaine newsletter sans doute depuis Singapour car, après Fef, nous devons sortir d'Indonésie pour changer nos visas. Ce sera pour nous l'occasion de nous replonger dans un monde bien différent !... Enfin, chaque chose en son temps, nous voulons tout d'abord profiter pleinement de ce beau temps de Noël qu'il nous est donné de vivre au milieu des papous. Nous prierons et penserons bien à vous tous, sous les étoiles, dans le secret de cette nuit magique ; personne ne sera oublié c'est certain !


Nous vous souhaitons donc avec un peu d'avance un très beau Noël ! N'oubliez pas vos voisins ou parents esseulés ! Nous vous embrassons très affectueusement,
Vos papoux

P.S.: Merci pour tous vos mails envoyés à l'occasion de l'anniversaire de Gwenolé et pour les plus curieux, sachez que cette date a été pour nous l'occasion d'une nouvelle expérience : nous sommes allés faire un tour chez le « pejahit » pour faire coudre un nouveau panta-short (bleu marine cette fois-ci), en prévision de notre virée en jungle... Ce qui est assez bien, c'est que malgré les aventures du « pejahit », Gwenolé arrive à rentrer dans son pantalon ! c'est tout de même interressant, non ?!

vendredi 5 décembre 2008


Bien chers tous,
Un petit peu de chaleur papoue pour réchauffer tous ceux que nous aimons ! Nous avons beaucoup de mal à vous imaginer dans le froid et la grisaille mais nous suivons fidèlement votre calendrier...
Remarquez comme le « Papounews » est très ouvert !!!
Ici nous avons toujours de la chaleur à revendre et Gwenolé a toujours plaisir à se moquer des 6 douches ou plutôt des 6 seaux quasi-quotidiens de Charlotte... donc rien de changé sous l'Equateur !
Mais non ! on va tout vous dire...

Un petit coin de Paradis
Oui, nous avons eu la chance de pouvoir y goûter dernièrement ! Autant vous dire tout de suite : pas mal du tout !!!... on y serait bien resté !!!
En effet nous avons pu profiter dernièrement d'un w.e. prolongé pour aller à la découverte du magnifique écrin naturel de Raja Empat... Vous vous souvenez de cet archipel de 600 îles dont seulement 35 sont habitées ?... C'est là que nous nous sommes rendus.
Renaud et Fanny nous avaient laissé les coordonnées d'une dame qui travaille pour la conservation et la protection du Corail (Coremap) ; celle-ci voulait bien accueillir les volontaires et leur faire profiter de cet endroit magnifique... Aussi, lorsque nous avons su que nous étions en congés (la veille au soir pour le lendemain bien sûr !), nous l'avons aussitôt appelée... Cette dame, Ibu Meidi, devait justement se rendre dans un village pour y travailler et nous proposa gentillement de la suivre dans sa tournée... C'est ainsi que nous nous sommes retrouvés en quelques heures dans un univers tout à fait autre !
Nous sommes d'abord allés à Waisai sur l'île de Waigeo puis à Sawandarek sur l'île de Mansuar, deux localités très différentes.
Waisai est une petite ville récemment construite au bord de l'eau, qui s'apprête à accueillir des flots de touristes dans les années à venir... On y croise beaucoup d'indonésiens, tous pressés de parler Anglais mais très peu soucieux du devenir des déchets, ce qui commence déjà à enlaidir le coeur et les alentours de la ville... Actuellement les touristes sont encore triés sur le volet (il paraît que nous étions sur les traces de la japonaise Miss Univers !) : tout d'abord il faut être renseigné et savoir que le lieu possède de magnifiques richesses aquatiques et puis il faut aussi avoir un portefeuille bien fourni car déjà les opérateurs touristiques -généralement d'origine étrangère- ont misé sur des prix énormes... (pour vous donner une idée : si vous voulez plonger avec Papua Diving, il faut compter au minimum 250 euros pour aller passer une simple nuit sur leurs sites...).
Un peu plus en retrait, Sawandarek est un tout petit village qui s'élève sur le sable blanc, entre la jungle et l'eau turquoise de la mer; ses maisons sont faites de bambou uniquement, et les petits sentiers qui en partent, s'enfoncent très rapidement dans la jungle...
A Sawandarek, nous avons vécu de belles heures typiques papoues au rythme du soleil et, pendant que Ibu Meidi travaillait, nous avons pu plonger pour admirer les beautés sous-marines... nous avons y vu des coraux de toutes les couleurs et de toutes les formes...des coquillages, des étoiles de mer.... des poissons eux aussi multicolores et en tous genres: des petits, des moyens, des gros (plus grands que Gwenolé !), tous plus originaux les uns que les autres (nous en avons même vu avec des pattes : ce sont les poissons Glodok, ils ne sont pas très grands mais d'une rapidité déconcertante !). Nous avons aussi suivi des tortues géantes ! Enfin nous étions complètement ivres de tout ce que nous découvrions et cela nous a même coûtés de nous retrouver pris dans un courant côtier tels des enfants insouciants.... Là nous riions moins !
A Waisai la vie sous-marine est un peu moins riche mais nous avons fait la connaissance de poissons tout aussi agiles : alors qu'il faisait très lourd et que nous allions nous rafraîchir à l'extrémité d'un ponton de bois, nous avons été rejoints par tout un groupe d'enfants. Nous les invitons à se joindre à nous... Une bouteille de Coca trainant à la surface de l'eau suffit pour improviser un jeu de « passe à 10 »... les enfants sont ravis et nous aussi ! Personne n'est arrêté par la pluie qui commence à tomber... Le jeu change: les enfants essaient de suivre Gwenolé : c'est à qui fera la plus belle figure de gymnastique sous l'eau... Charlotte songe: « c'est vrai qu'on dirait de vrais poissons ! Ils sont tout aussi rapides et endurants... et leurs tee-shirts et shorts de toutes les couleurs ne font que renforcer la ressemblance! ». Bien sûr nos masques, palmes et tubas passent de mains en mains et chacun tire sur les lanières pour ajuster au mieux ce matériel malheureusement prévu pour adultes uniquement.
Nous gardons un excellent souvenir de ces quelques jours et de l'accueil hors paire d'Ibu Meidi qui, 5 minutes après avoir fait connaissance et offert un repas, nous laissait les clefs de sa maison pour retourner à son travail !!! bel exemple d'hospitalité, n'est ce pas ?!
C'est ainsi qu'en simple volontaire M.E.P. nous avons pu pénétrer dans le magnifique lieu de Raja Empat !

La main mystérieuse...
La semaine dernière, il nous est arrivé une drôle d'histoire... On pourrait la commencer par : « minuit... L'heure du crime !... », sauf qu'il était 5h du matin. Il faisait encore nuit et nous dormions à poings fermés lorsque Charlotte sentit une main rugueuse lui palper le cou... Le temps de crier 3 « hé » pour se mettre les idées en place et réveiller Gwenolé, l'homme s'était enfui ! Charlotte n'avait pas rêvé: la moustiquaire avait été arrachée, le rideau de la fenêtre levé et le crochet de cette dernière démonté puis placé plus haut pour obtenir une plus grande ouverture... L'homme avait passé le bras au travers de la grille en fer forgé en espérant sans doute trouver un collier autour du cou de Charlotte... et malheureusement pour lui il n'y avait rien !!!
Nous avons donc un peu modifié notre installation et ce genre de petit intermède nocturne ne devrait plus avoir lieu.

La « chasse-pèche » ou les jeux des enfants
Un jour Gwenolé se promène et rencontre un petit garçon au milieu des hautes herbes; celui-ci tenait dans sa main un petit arc et semblait très occupé par son affaire... Gwenolé se demandant de quel nature pouvait bien être le gibier espéré, héla le petit homme : « tu chasses ? » et lui de répondre brièvement : « je pèche ! »... n'étant pas très sûr d'avoir bien compris la réponse venant de ce petit archer au milieu de sa verdure, Gwenolé reprend: « tu cherches des poissons ? » et le garçon de répondre : « oui ! »... L'étonnement allait grandissant mais comme l'enfant restait très concentré sur son occupation, Gwenolé se contenta de prendre quelques photos... Quelques temps après, nous avons croisé à plusieurs reprises des groupes de garçons qui revenaient des champs, leurs arcs sur les épaules et des seaux à la main; dans ces seaux, il y avait bel et bien des poissons et qui plus est, de taille tout à fait étonnante : mieux que de la simple friture !!! Vous verrez les photos, cela vous donnera au passage une idée de l'état aqueux des terres...
Ici les petits papous manient aussi bien l'arc que le lance-pierre... dès qu'un petit oiseau tombe à terre, il est ramassé et emmené fièrement à la maison pour y être déplumé, cuisiné et mangé...même les petits moineaux qui n'ont que quelques grammes de chaire sont des proies interessantes : nous sommes très loin des bons gros beefsteaks du Charolais !
Pour ce qui est des autres jeux, il y en a pour tous les goûts: depuis le simple petit objet sculpté dans le bois jusqu'au dernier né de la gamme plastique « made in Taiwan » ou « made in China » (de préférence « rose Barbie » ou similaire)... Mais la plupart du temps les enfants que nous croisons jouent avec ce qui traine; ils sont champions dans l'art de la récupération !!!
Dans cet art, nous avons été particulièrement intrigués par une dernière trouvaille : ici les pneux sont récupérés pour balancer les enfants... Vous nous direz qu'en France, nous avions des balançoires issues du même matériel sur les terrains de jeux publiques, il y a quelques années en arrière, mais ici le pneu est coupé d'une manière tout à fait originale : on ne pose pas l'enfant sur le pneu mais à l'intérieur... Le pneu est ouvert de façon à ce que cela fasse une nacelle : les côtés servent d'arceaux et on glisse le bébé (sur quelques couvertures posées auparavant !) entre les arceaux... Les photos seront certainement plus explicites !!!
Comme quoi, avec un rien, on peut faire des choses tout à fait extra-ordinaires !!!


Les derniers changements
Nous n'avions pas eu le temps de vous dire que suite au départ d'un professeur et d'une douzaine d'élèves après les examens semi-semestriels, nous avions eu des modifications de programme puisque 2 classes avaient été fermées... Nous nous sommes alors retrouvés avec moins d'heures de cours mais des classes beaucoup plus grosses, ce qui ne nous facilite pas vraiment la tâche.... Enfin nous faisons avec ! Et comme les soeurs de SP III nous avaient demandé si nous pourrions donner aussi un coup de main à leurs élèves, nous avons désormais 30 élèves qui s'ajoutent à notre petit monde, des filles cette fois-ci.... Nous allons donc tous les vendredi soir du côté du quartier de SP III : nous donnons y séparemment cours pendant 2 heures et après, les soeurs nous coucounent ! Elles nous préparent de bons repas (même avec du riz !) et nous apprennent des mots nouveaux ; nous avons vraiment plaisir à aller de ce côté, c'est comme une petite bouffée d'air frais !
Autrement, nous avons arrangé notre pièce de rangement et fait en sorte de la rendre plus agréable pour pouvoir y accueillir par temps de pluie les élèves en difficultés. (Au passage, Gwenolé a muni notre précieux séchoir à linge de deux poulies, ce qui change la vie !!! si, si ! Nous avons un vrai séchoir de compétition ce qui est vraiment appréçiable sous ce climat !).
Dans la rubrique « bricolage » nous avons réussi à faire une couronne de l'Avent pour partager nos traditions avec les gens de Papua qui l'ont trouvée très « Cantik » et étaient amusés de la voir suspendue au plafond...



Voilà pour les petites nouvelles, nous pensons bien à vous tous et plus particulièrement à notre Benjamin à qui nous souhaitons un très joyeux anniversaire ! (nous pensons bien fort à l'aîné de nos filleuls qui fait la joie de ses parents, parrain, marraine et de toute sa famille ! Que le Seigneur te garde et t'aide à continuer sur la belle route que tu as si bien commencé ! En attendant de partager avec toi toutes les découvertes de Papua, nous t'embrassons très affectueusement !)
Nous n'oublions pas notre cher Bruno à qui nous souhaitons un joyeux saut vers la trentaine!
Puisque nous sommes dans la lancée des bougies : nous penserons bien à notre « om Guy » (de Charlotte), « kaka Pierre-Ath », « adik Erwan » et notre « Bapak Olivier » à leurs dates d'anniversaire respectives... et leurs souhaitons un joyeux anniversaire avec un peu en avance !
Et pour vous tous, de bons Bisoux papoux! Bon Avent et joyeux 8 Décembre!
Gwenolé et Charlotte